Description
Dans Peau de Louve, Mathilde Arnaud s’interroge sur le Sauvage et fait le parallèle entre la femme et la louve. Les différentes facettes que la société rejette ou assigne au féminin cohabitent à travers contes, poésie, chant et actualité. Dès 14 ans.
Entre les jeux d'ombres, les intermèdes poétiques et théâtraux, les contes y sont beaux, originaux et habités.
Durée : 50 min
Public : à partir de 14 ans
Quand on parle du loup...
Tout le monde a un avis sur la question. Figure archaïque de la peur, il est à la fois le compagnon des jeux de l’enfance, le fer de lance des écologistes, le bouc émissaire de certains éleveurs. Mais pourquoi en parler autant alors qu’on le voit si peu ?
Aujourd’hui, il hurle de nouveau dans les montagnes et incarne un aspect du sauvage auquel nous avons perdu l’habitude de nous confronter. Si certains aimeraient lui faire la peau, d’autres voudraient à tout prix la sauver.
Pourquoi est-il si dérangeant ?
Que se joue-t-il dans notre rapport avec le loup ?
Est-il sujet de tant de tensions parce qu'à la fois si lointain et si proche de nous, le loup est le miroir cruel de notre humanité ?
Parcourant de vastes territoires et chantant sous la lune, représente-t-il un fantasme de liberté, une peur et une fascination ?
Dans Peau de Louve, Mathilde Arnaud s'interroge sur le Sauvage et fait le parallèle entre la femme et la louve. Les différentes facettes que la société rejette ou assigne au féminin cohabitent à travers contes, poésie, chant et actualité.
Sur un plateau nu, elle joue avec les ombres portées et le clair obscur pour faire apparaitre les personnages de ces histoires. Femme, Hommes et Bêtes se découvrent, s’observent, se toisent, se défient, s’aiment et se dévorent .
Enfilez votre Peau de Louve pour la suivre dans la forêt des Hommes.
Accompagnement en conception et dramaturgie : Myriam Pellicane
Œil extérieur : Clémentine Jolivet
Univers sonore : Alain Lafuente
Costume / maquillage : Barbara Mornet
Création lumière : Claire Villard
Production Compagnie IREAL
Ouverture
Samedi 1er novembre 2025.
À 20h.